Alors qu’Antonio Casilli, sociologue au centre Edgar Morin à l’EHESS, vient de publier Les liaisons numériques voici une conférence donnée lors du LIFT’10 à Genève sur la notion de “digital natives”, ou natifs numériques....
“CNN International a mené une des études les plus poussées à ma connaissance en ce qui concerne le phénomène de recommandation dans les médias sociaux. Conduite entre juin et août 2010 dans 11 pays...
Un conseil de lecture. Frédéric Martel a publié chez Flammarion « Mainstream, Enquête sur cette culture qui plaît à tout le monde ». Mainstream a fait l’objet de plus de 180 articles de presse en...
Le carnet de recherche « SIC, TIC, TICE » souhaite présenter les avancées d'un travail de thèse qui porte sur l'éducation aux médias à travers l'étude des médias éducatifs et du rapport entre médias et Ecole (commencé en 2010) dans un contexte de « convergence numérique », à travers l'exemple de l'audiovisuel éducatif.
Par ailleurs, vous trouverez dans ce carnet un ensemble de liens et de réflexions portant plus largement sur les TIC et les sciences de l'information et de la communication, pouvant alimenter notre recherche. N'hésitez-pas à enrichir ce carnet grâce à vos suggestions, liens et commentaires.
L’enjeu de cet « Essentiel » est d’éclairer le lecteur sur les origines des sciences de la communication. La communication est aujourd’hui au cœur des enjeux de la connaissance et de la société. Son objectif ultime est de contribuer à vivre ensemble. Les « sciences de la communication » ont pour objectif principal d’en élucider le fonctionnement.
Cet ouvrage rappelle que celles-ci ont pris consistance au cours de la première moitié du 20e siècle et que cet essor est peu connu. Des chercheurs y ont participé mais aussi des mouvements militants, culturels, sociaux, professionnels ou médiatiques. Quel intérêt à relire ce passé oublié ? – Éclairer les enjeux actuels de la communication. Les neuf contributions montrent la nécessité de renouer avec les filiations de pensée, de relire les apports de figures oubliées et du mouvement social et de mesurer par défaut l’emprise contemporaine de la modernité et de la technologie.
J. Perriault est professeur émérite à l’Université Paris Ouest – Nanterre La Défense